Survivre à la première année de bébé

44 jours de sommeil en moins durant la 1ère année de bébé

La première année suivant l’arrivée d’un nouveau-né ne laisse que peu de répit aux nouveaux parents. D’après les résul-tats d’une étude, ils ne dorment en moyenne que 5,1 heures par nuit. Au total, après une naissance, ce sont 44 jours de sommeil par an que perdent les parents. De multiples causes expliquent cette privation de sommeil, comme les pleurs et les biberons nocturnes, ou encore les insomnies. Difficile pour les jeunes parents de profiter d’une bonne nuit de sommeil après la naissance d’un bébé.

Nourrisson qui ne fait pas ses nuits, tétée ou biberon nocturnes, angoisse sur la sécurité de l’enfant, insomnies et difficultés à s’endormir après une journée stressante sont autant de raisons qui rac-courcissent de quelques heures les nuits des jeunes parents. Pour arriver à cette conclusion, 1 800 Britanniques ont été inter-rogés sur leurs habitudes de vie et de sommeil pour une étude de la marque de matelas Ergoflex. Pendant la première année de la vie d’un nouveau-né, les parents dorment en moyenne 5,1 heures par nuit, soit près de trois heures de moins que le temps de repos recommandé.

Sur une semaine, c’est un peu plus de 20 heures de précieux sommeil qu’ils perdent. parmi les raisons invoquées par les nouveaux pa-rents pour expliquer ce raccourcissement de leurs nuits, oretrouve dans 62% des cas les biberons ou les tétées nocturnes. 57% des nouveaux parents manquent de sommeil car le bébé se réveille et/ou pleure pendant la nuit.

Inquiétudes et insomnies

Mais le manque de sommeil n’est pas dû qu’à l’enfant: près d’un jeune parent sur deux (45%) ne trouve pas le sommeil car il s’inquiète pour la sécurité de bébé. D’autres sont victimes d’insomnies ou ont des difficultés à s’endormir (34%), tandis qu’un gros quart des jeunes parents (27%) profite des heures de sommeil de leur bébé pour s’attaquer à quelques tâches ménagères qu’ils auraient négligés pendant la journée. plus tôt dans l’année, une étude révélait qu’au Royaume-Uni, un divorce sur trois était imputé aux pleurs de bébé !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.