Bébé aime les câlins!

Peut-on faire trop de câlins ?

Pour Myriam Stoppard, « contrairement à ce que pense de nombreux parents, le besoin de contacts physiques d’un enfant augmente avec l’âge. Garçon ou fille, il faut l’encourager à exprimer ses émotions. Sa capacité à atteindre une certaine stabilité affective s’acquiert au cours de la première année. » Ca fait réfléchir…

Le porte-bébé : pour câliner sans s’épuiser

« Votre bébé pleurera moins et se consolera plus vite si vous le portez souvent ». On est bien d’accord avec cette remarque, mais nos bras, eux, fatiguent ! La solution : le porte-bébé. Ou sa version plus ergonomique : l’écharpe de portage. Etre ainsi porté équivaut pour bébé à un câlin, et cela ne nous empêche pas de vaquer à nos occupations, les mains libres !

Références bibliographiques

Pour les adultes, « Le petit livre des gros câlins », de Kathleen Keating (illustrations Mimi Noland), édité au Seuil dans la collection Points Virgule, est un bouquin qui fait du bien !

Mot de l’éditeur : « Faire un câlin… rend heureux ; dissipe la solitude ; sèche les larmes ; aide à surmonter la peur ; permet de construire l’estime de soi-même ; encourage l’amour du prochain ; ralentit les effets du vieillissement (les adeptes des câlins restent jeunes plus longtemps) ; est excellent en cas de régime amaigrissant. Nous avons moins besoin de manger quand nous sommes gavés de câlins. De plus, nos bras sont occupés. Ce n’est pas tout, faire un câlin… apaise les tensions ; supprime les insomnies ; exerce les muscles des bras et des épaules ; permet de s’étirer ; fait travailler les articulations du dos ou des genoux ; représente une saine alternative à l’alcool ou la drogue ; constitue un acte hautement démocratique : chacun peut prétende à un câlin. Un livre à s’inoculer quand on se sent un peu ourson dans un monde de grisaille. Un livre-câlin ! »

Pour les enfants, une sélection de petits livres illustrés à découvrir en famille :
-« Tous les câlins », de Pierrick Bisinski et Alex Sanders, Ecole des Loisirs.
-« Le grand livre des câlins » de Guido van Guenechten, Milan.
-« Très, très fort ! » de Trish Cook, Flammarion.
-« Le plus doux des câlins », Sarah Nash et Daniel Howarth, Les deux souris.

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